Love and other words

Titre: Love and other words

Auteur: Christina Lauren

Editeur: Hugo Roman

Parution: 17/09/2020

Format: Poche

Nombre de pages: 441

Prix: 7,60€

Résumé de l’éditeur:

Les histoires de coeur sont à jamais indélébiles Première Women fiction de Christina Lauren Le livre : Macy, interne en pédiatrie, prépare son mariage avec un homme plus âgé qu’elle, tout en gardant ses distances. Lorsqu’elle tombe sur Elliot – son premier et unique amour – la vie parfaite qu’elle avait construite commence à se craqueler. Le véritable amour ne disparaît jamais totalement des coeurs. Une histoire d’un amour de jeunesse entre deux adolescents plein de promesses, interrompu en plein vol, et qui évolue onze ans plus tard, en une histoire d’amour forte et confiante, entre adultes.

J’ai adoré ce livre qui est poétique et remplie d’amour.

Plongez dans l’histoire de Macy et Elliot. La première fois qu’ils se sont rencontrés, c’est dans la maison secondaire de Macy. Leur amitié puis leur amour se sont déroulés jusqu’à leurs dix-huit ans. Puis pour une raison que nous ignorons, ils sont coupés tous contact jusqu’à ce qu’ils se retrouvent dans un café onze plus tard. J’ai complétement adoré ce roman. Tut d’abord, la plume des autrices sont magiques. Les personnages ont l’air réels et j’aurais voulu être à la place de Mady pour vivre tout ce qu’elle a vécu ! De plus, c’est un des rares livres qui a réussi à me tirer les larmes aux yeux. Pour l’histoire, je n’ai rien à redire. Nous sommes charmés par la relation qui se construit au fur et à mesure au moment où ils sont adolescents et nous nous questionnions sur le présent et ce que va décider de faire Mady. Je ne sais pas trop comment vous donner envie de lire ce livre, car il est tellement bien. Dès les premières pages, vous seriez transporté et vous ne pourriez pas vous arrêter.

Les personnages sont tellement attachants qu’on aimerait qu’ils existent dans la vraie vie. Mady qui colle parfaitement à la lectrice « type » mais elle apporte la question du deuil avec justesse. Elliot est le garçon et l’homme que toutes les lectrices et les lecteurs voudraient. C’est un lecteur qui est sensible et qui essaye de comprendre vraiment Mady au lieu de lui donner des phrases bateaux pour passer à autre chose.

J’ai vu des réels parlant d’un abus sexuel. En prenant du recul sur l’histoire, nous pouvons parler d’abus sexuel mais les autrices ne développent pas ce point donc je ne sais pas si c’est quelque chose qu’elles ont réellement voulue mettre. N’hésitez pas à me donner vos avis ou vos informations si jamais les autrices auraient évoquer ce point-ci.

Un livre qu’il faut lire au moins une fois dans sa vie et qui m’a donné envie de découvrir la Californie du Nord et Russian River.

« Je ne pense pas avoir remarquer que je survolais ma vie comme un fantôme jusqu’ici. Je m’en fichais peut-être. » – Mady, page 263